Les échanges en Bitcoins sont exonérées de TVA et relèvent de l'article. 135 Abs. 1 BUCHST. e directive 2006/112

1. Art. 2 Abs. 1 BUCHST. c de la directive 2006/112 / CE du 28. Novembre 2006 relative au système commun de la TVA doit être interprété, debout que les opérations telles que celles en cause au principal, constitué de change des monnaies conventionnelles en unités de monnaie virtuelle "Bitcoin" et vice versa, qui sont exécutés pour un montant, correspondant à la marge, représenté par la différence entre le prix, à laquelle l'opérateur économique concerné achète des devises, et le prix, au cours de laquelle il les vend à ses clients, est formée, constituer des services payants fournis aux fins de cette disposition.

2. Art. 135 Abs. 1 BUCHST. e directive 2006/112 doit être interprété, debout que les services tels que ceux en cause dans ce cas, constitué de change des monnaies conventionnelles en unités de monnaie virtuelle "Bitcoin" et vice versa, qui sont exécutés pour un montant, correspondant à la marge, représenté par la différence entre le prix, à laquelle l'opérateur économique concerné achète des devises, et le prix, au cours de laquelle il les vend à ses clients, est formée, représentant des transactions exonérées de la TVA pour les fins de cette disposition.

Art. 135 Abs. 1 BUCHST. d et f de la directive 2006/112 doit être interprété, que ces services ne relèvent pas du champ d'application de ces dispositions.

CJCE partir 22. Octobre 2015(*)

«Demande de décision préjudicielle - Système commun de TVA - la directive 2006/112 / CE - Article. 2 Abs. 1 BUCHST. c et Art. 135 Abs. 1 BUCHST. D à F - services payants - échange de monnaie virtuelle Bitcoin 'en monnaies conventionnelles - Libération "

Dans l'affaire C-264/14

Ayant pour objet une demande de décision préjudicielle en vertu de l'article. 267 TFUE, eingereicht vom Cour administrative suprême (Cour administrative suprême, Suède) par décision du 27. Plus 2014, parvenue à la Cour le 2. Juin 2014, dans le processus

Agence fiscale

contre

David Hedqvist

adopter

LA COUR (Cinquième chambre)

avec la participation du président de la quatrième chambre T. von Danwitz, faisant fonction de président de la cinquième chambre, D. Cafards, A. Rosas (Journaliste), E. Juhász et C. Vajda,

Generalanwältin: J. Kokott,

Chancelier: C. Strömholm, Administrateur,

S'agissant de la procédure écrite et à l'audience du 17. Juin 2015,

considérant les observations

– des Skatteverk, représenté par M. Loeb, Secrétaire juridique,

- M. Hedqvist, représenté par A. Erasmie, avocat, et F. Berndt, autour. Kand.,

- Le gouvernement suédois, représenté par A. Falk et E. Karlsson, en qualité d'agents,

- Le gouvernement allemand, représentée par T. Henze et K. Petersen, en qualité d'agents,

- Le gouvernement estonien, représenté par K. Kraavi-Käerdi d'agents,

- La Commission européenne, représenté par L. Lozano Palacios, M. Avoine-Hornung, K. Simonsson und J. Enegren, en qualité d'agents,

après avoir entendu l'avis de l'avocat général à l'audience du 16. Juillet 2015

suivant

Jugement

1 La demande de décision préjudicielle porte sur l'interprétation de l'article. 2 Abs. 1 et Art. 135 Abs. 1 de la directive 2006/112 / CE du Conseil 28. Novembre 2006 sur le système commun de TVA (ABl. L 347, S. 1, au-dessous: Directive TVA).

2 Elle a été faite dans le cadre d'un litige opposant le Skatteverket (L'administration fiscale suédoise) et M. Hedqvist d'un comité de la législation fiscale (Tax Law Board) publié décision préliminaire sur l'assujettissement à la TVA de la conversion des monnaies conventionnelles dans la monnaie virtuelle "Bitcoin" ou vice versa, veulent le report Seigneur Hedqvist une entreprise.

Le cadre juridique

Unionsrecht

3 Dans Art. 2 la directive TVA prévoit que:

"(1) Les opérations suivantes sont soumises à la TVA:

une) Livraison des produits, actionné par un assujetti en tant que tel sur le territoire d'un État membre par:;

...

c) Services, fournit une imposable comme tel sur le territoire d'un État membre par:;

... "

4 Art. 14 Abs. 1 la directive TVA prévoit:

«Quand, une livraison de biens», on entend le transfert de compétence, de disposer comme un propriétaire d'un objet physique ".

5 Art. 24 Abs. 1 la directive TVA prévoit:

«Quand, service»: toute vente, la fourniture de biens est pas. "

6 Art. 135 détermine la directive TVA:

"(1) Les États membres exonèrent de la taxe sur les transactions suivantes:

...

d) Revenus - y compris la négociation - en dépôt et les comptes courants, Paiement- et le transfert de fonds, dans les affaires avec des demandes, Chèques et autres instruments négociables, sauf pour le recouvrement des créances;

et) Revenus - y compris la négociation -, portant sur les devises, Reportez-vous billets et des pièces, l'offre légale, à l'exception des objets de collection, d. h. Pièces d'or, Argent ou d'autres métaux pièces de monnaie ou des billets de banque, qui ne sont pas normalement utilisés comme moyen de paiement ou un intérêt numismatique juridique;

f) Revenus - y compris la négociation, mais pas la gestion et la conservation -, portant sur les actions, Participations dans les entreprises ou les associations, Reportez-vous débentures et autres titres, à l'exception des certificats de matières premières et à l'article 15 Ventes 2 desdits droits et titres;

... "

La loi suédoise

7 Après chapitre 1 § 1 la loi (1994:200) sur la TVA (Merwärdesskattelag [1994:200], au-dessous: Value Added Tax Act) pour les fournitures taxables de produits ou. Services, l'examen par un assujetti effectue au pays ou. MEUBLE, Pour payer la TVA à l'État.

8 Section 3 cette loi contient une § 23 Abs. 1, après les livraisons de pièces et billets, représentant légal, à l'exception des objets de collection, d. h. Pièces d'or, Argent ou d'autres métaux pièces de monnaie ou des billets de banque, qui ne sont pas normalement utilisés comme moyen de paiement ou un intérêt numismatique juridique, sont exonérés de la TVA.

9 Dans ce chapitre 3 voir § 9 une exonération fiscale de la banque- et les services financiers, et les revenus de négoce de titres et les ventes comparables avant. Le notaire activité, Services de collecte et de services de gestion à l'égard de l'affacturage ou la location d'espace de stockage ne font pas partie de la Banque- et les services financiers.

Le litige au principal et les questions préjudicielles

10 M. Hedqvist intention, offrir un service d'affaires dans la forme de la conversion des monnaies conventionnelles dans la monnaie virtuelle "Bitcoin" et vice-versa.

11 L'ordonnance de renvoi, que la monnaie virtuelle "Bitcoin" destiné principalement aux paiements entre les individus sur l'Internet et dans les magasins de l'Internet, accepter cette monnaie, est utilisé. Ces monnaie virtuelle ont pas émetteur individuelle, mais permettra de créer un algorithme spécifique directement sur le net. Le système de monnaie virtuelle "Bitcoin" permettre l'appropriation et la transmission anonyme anonyme de "Bitcoin" montants forfaitaires au sein du réseau entre les utilisateurs, qui possédait adresses "Bitcoin". Une adresse "Bitcoin" pourrait être le numéro d'un compte bancaire Comparer.

12 Se référant à un rapport de la Banque centrale européenne sur les monnaies virtuelles sur l'année 2012 la Cour d'appel de, qu'une monnaie virtuelle comme une sorte de sortie de ses inventeurs et de l'argent à commande numérique peut être défini, car il n'y a aucun contrôle et qui sera acceptée par les membres d'une communauté virtuelle particulière. La monnaie virtuelle "Bitcoin" appartiennent à ce qu'on appelle les monnaies virtuelles "deux côtés" négociables, qui pourrait acheter les utilisateurs sur la base d'un taux de change et vendre. Ces monnaies virtuelles étaient similaires en termes de leur utilisation dans le monde réel autre bourse permis Devises. Ils ont permis l'acquisition de biens et de services réels et virtuels. Monnaies virtuelles différentes de monnaie électronique tels que définis dans la directive 2009/110 / CE du Parlement européen et du Conseil du 16. Septembre 2009 relatif à la prise, Poursuite et la surveillance prudentielle de l'activité des établissements de monnaie électronique, modifiant les directives 2005/60 / CE et 2006/48 / CE et abrogeant la directive 2000/46 / CE (ABl. L 267, S. 7), puisque avec les monnaies virtuelles, par opposition au capital de la monnaie électronique pas dans des unités conventionnelles de compte, avec. B. en Euro, volonté exprimée, mais dans une unité virtuelle de compte, tels que "Bitcoin".

13 Les Etats juridiction de renvoi, que le chiffre d'affaires proposé par M. Hedqvist doit être faite par voie électronique sur le site Internet de son entreprise. Cette entreprise va acheter les unités de la monnaie virtuelle "Bitcoin" directement à des individus et des entreprises, ou sur un portail d'échange international. Ces unités seraient ensuite revendus ou intégrés par cette entreprise sur ce portail de change. L'entreprise de M. Hedqvist ces unités sera également vendre à des particuliers ou des entreprises, qui avait donné l'ordre à travers son site web. Si le client a offert à la Société par M. Hedqvist, spécifiée dans le prix de couronnes suédoises ont accepté et un paiement avait été effectué, les unités vendues de monnaie virtuelle "Bitcoin" seraient automatiquement envoyés à l'adresse indiquée "Bitcoin". Dans les unités vendues par monnaie virtuelle "Bitcoin" de cette société si elle était soit ceux, qui a acheté dans le portail d'échange immédiatement après la commande par le client, ou celles, qui ont déjà eu en stock. Le service offert par l'entreprise à des clients basés sur le prix applicable dans un béton prix Portail d'échange plus un certain pourcentage. La différence entre le Sur- et le prix de vente pointer le chiffre d'affaires de l'entreprise par M. Hedqvist représente. Autres frais stelle cette société non facturées.

14 Le chiffre d'affaires prévu par M. Hedqvist donc limité à la Sur- et la vente d'unités de la monnaie virtuelle "Bitcoin» en échange de monnaies conventionnelles que de couronnes suédoises, ou vice-versa. L'ordonnance de renvoi ne semble pas partir, qu'ils se rapportent à des paiements "Bitcoins".

15 Avant d'effectuer ces opérations M. Hedqvist appliquée à la commission des lois de l'impôt sur un avant-, d'apporter l'expérience, Que ce soit pour- et la vente d'unités de la monnaie virtuelle "Bitcoin" est redevable de la TVA.

16 Dans une décision préliminaire 14. Octobre 2013 est allé ce comité sur la base de l'arrêt First National Bank of Chicago (C-172/96, Je:C:1998:354) la Cour assume, M. Hedqvist offrira un service d'échange d'une rémunération. Toutefois, il a pris la position, que cet échange de services en vertu du Chapitre 3 § 9 de la loi sur l'exonération de TVA prévue cas.

17 Selon la commission des lois de l'impôt est la monnaie virtuelle "Bitcoin" un cash, le cours légal sera utilisé. Incidemment, le terme sert "légal" dans l'art. 135 Abs. 1 BUCHST. e de la directive TVA pour, pour délimiter le champ d'application de l'exemption par rapport aux billets et pièces. Il s 'ensuit, que ce terme doit être compris comme, qu'il se réfère uniquement aux billets et pièces et non sur les devises. Cette interprétation est également compatible avec le genre de dans. 135 Abs. 1 BUCHST. b à g de exemptions de la directive TVA prévue l'objectif poursuivi, à savoir éviter des difficultés rencontrées dans la collecte de la TVA sur les services financiers.

18 Le Skatteverket a förvaltningsdomstolen contre la décision de la Commission du droit fiscal Högsta (Cour administrative suprême) Intenté une action, avec le pouvoir, il a affirmé, que le désigné à la demande du service de M. Hedqvist ne sont pas couverts par le chapitre 3 § 9 de la loi sur l'exonération de TVA prévue cas.

19 M. Hedqvist soumet, que l'action intentée par le Skatteverket rejeté et la décision préliminaire de la commission des lois de l'impôt est de confirmer.

20 La juridiction de renvoi considère, de l'arrêt First National Bank of Chicago (C-172/96, Je:C:1998:354) pourrait être déduite, que les recettes, qui existait dans l'échange d'une monnaie virtuelle dans une monnaie conventionnelle et vice versa, et serait faite pour un montant, les correspond à la différence entre le prix payé par le prix d'achat à l'opérateur et le prix de vente exigé de lui, constituer une prestation de services contre rémunération. Si elle est adoptée telle poser la question, si ces opérations sous une sorte de dans. 135 Abs. 1 tombé la directive TVA pour les exemptions de services financiers fournis, en particulier dans le cadre du sous-alinéas. D mis en place cette disposition f.

21 Depuis il a des doutes, si l'un de ces exemptions est applicable à ces transactions, la haine der Cour administrative suprême (Cour administrative suprême) décidé, surseoir à statuer et de poser les questions suivantes pour une demande de décision préjudicielle à la Cour:

1. Est-Art. 2 Abs. 1 interpréter la directive TVA en ce sens, que comme un échange de monnaie virtuelle dans une monnaie et vice versa Transactions conventionnelle visée, pour une taxe est payable, estime que le fournisseur de ce service dans la fixation des taux de change, devrait être considéré comme fournissant un service contre rémunération?

2. Si la première question est affirmative: Est-Art. 135 Abs. 1 interpréter la directive TVA en ce sens, que de telles opérations de change sont exonérés d'impôt?

Les questions

La première question

22 Par sa première question, la juridiction de renvoi demande, ob Art. 2 Abs. 1 BUCHST. c est interprété comme la directive TVA doit, debout que les opérations telles que celles en cause au principal, constitué de change des monnaies conventionnelles en unités de monnaie virtuelle "Bitcoin" et vice versa, qui sont exécutés pour un montant, correspondant à la marge, représenté par la différence entre le prix, à laquelle l'opérateur économique concerné achète des devises, et le prix, au cours de laquelle il les vend à ses clients, est formée, constituer des services payants fournis aux fins de cette disposition.

23 Par type. 2 Abs. 1 la directive TVA prévoit que la fourniture de biens et services, par un assujetti en tant que tel sur le territoire d'un État membre en échange de paiement ou de marques. MEUBLE, TVA.

24 Tout d'abord, il convient de noter, que le virtuel, deux côtés devises négociables "Bitcoin", qui sera remplacé dans le cadre des opérations de change par rapport aux monnaies classiques, non pas comme «objet» au sens de l'art. 14 la directive TVA peut être classé, puisque le but de ces monnaie virtuelle, comme l'avocat général au point. 17 a son avis, consiste uniquement à l'utilisation comme moyen de paiement.

25 La même chose est vraie pour les monnaies conventionnelles, comme il vient de l'argent, La monnaie légale est (VGL. à cet effet, la Banque Nationale de Chicago Première, C-172/96, Je:C:1998:354, Rn. 25).

26 Il en résulte que les dispositions en cause dans la procédure au principal des ventes, fait la différence en échange de trésorerie, ne sont pas couverts par «livraison de biens» le terme, visée à l'Art. 14 la politique est utilisée. Dans ces circonstances, ces services de vente au sens de l'art. 24 la directive TVA constitue.

27 Ensuite, il est pour le moral caractère d'intérêt d'un service devrait être noté, que la fourniture de services est effectuée «à titre onéreux» au sens de l'article. 2 Abs. 1 BUCHST. c de la directive TVA doit être fourni et donc soumis à la TVA, un lien direct entre le service rendu et la contrepartie reçue par le montant équivalent imposable est (Arrêts Loyalty Management UK et Baxi Groupe, C-53/09 et C-55/09, Je:C:2010:590, Rn. 51 et la jurisprudence citée, sowie Serebryannay vek, C-283/12, Je:C:2013:599, Rn. 37). Un tel lien direct existe, si il ya une relation juridique entre le fournisseur et le destinataire, dans lesquelles l'exécution réciproque, dans laquelle le reçu de l'indemnité payable est la valeur réelle du service fourni au bénéficiaire rendu (Jugement Le Rayon d'Or, C-151/13, Je:C:2014:185, Rn. 29 et la jurisprudence citée).

28 Dans l'affaire au principal découle des documents devant la Cour, que, entre la société par M. Hedqvist et ses entrepreneurs un rapport juridique synallagmatique d'exister, dans lesquelles engagent mutuellement à les parties à la transaction, Pour quitter les montants dans une devise donnée et de recevoir la valeur équivalente en monnaie virtuelle mutuellement échangeables, ou vice-versa. Il est en outre déclaré, que cette société est d'être rémunéré pour ses services par un retour, ce qui correspond à la marge, la compagnie inclut dans le calcul du taux de change, à laquelle il est prêt à recevoir, les monnaies respectives à vendre et à acheter.

29 La Cour a déjà jugé, le fait que, que cette rémunération ne pas accepter la forme de paiement d'une commission ou les charges spéciales, est de déterminer la nature pécuniaire d'un service pertinent (Urteil First National Bank of Chicago, C-172/96, Je:C:1998:354, Rn. 33).

30 À la lumière de ce qui précède, on peut supposer, que les opérations telles que celles en cause au principal constitue une prestation de services contre paiement d'une contrepartie, qui a un lien direct avec le service fourni, représenter, d. h. la fourniture de services à titre onéreux au sens de l'article. 2 Abs. 1 BUCHST. c de la directive TVA.

31 Par conséquent, la réponse à la première question, dass Art. 2 Abs. 1 BUCHST. c est interprété comme la directive TVA doit, debout que les opérations telles que celles en cause au principal, constitué de change des monnaies conventionnelles en unités de monnaie virtuelle "Bitcoin" et vice versa, qui sont exécutés pour un montant, correspondant à la marge, représenté par la différence entre le prix, à laquelle l'opérateur économique concerné achète des devises, et le prix, au cours de laquelle il les vend à ses clients, est formée, constituer des services payants fournis aux fins de cette disposition.

La deuxième question

32 Par sa seconde question, la juridiction de renvoi demande, ob Art. 135 Abs. 1 BUCHST. d est interprété à f de la directive TVA doit, debout que les services tels que ceux en cause dans ce cas, constitué de change des monnaies conventionnelles en unités de monnaie virtuelle "Bitcoin" et vice versa, et qui exécutent contre le paiement d'une somme, correspondant à la marge, représenté par la différence entre le prix, à laquelle l'opérateur économique concerné achète des devises, et le prix, au cours de laquelle il les vend à ses clients, est formée, sont exonérés de la TVA.

33 Tout d'abord, il convient de noter, que la manière. 135 Abs. 1 les exemptions de la directive TVA prévues par le cas de la Cour sont autonomes concepts de droit de l'Union, destiné à empêcher un État membre à l'autre de l'application du système de TVA (VGL. à. une. Urteile Skandinaviska Enskilda Banken, C-540/09, Je:C:2011:137, Rn. 19 et la jurisprudence citée, DTZ Zadelhoff sowie, C-259/11, Je:C:2012:423, Rn. 19).

34 Il est également de jurisprudence constante, que les termes utilisés pour définir ces ces exonérations doivent être interprétées strictement, étant donné que ces exonérations constituent des dérogations au principe général, que tout service, fournit l'un assujetti, est soumis à la TVA (Arrêts Ludwig, C-453/05, Je:C:2007:369, Rn. 21, DTZ Zadelhoff und, C-259/11, Je:C:2012:423, Rn. 20).

35 Toutefois, l'interprétation de ces termes doit être conforme avec les objectifs, avec l'en nature. 135 Abs. 1 la directive TVA exemptions proposées sont poursuivis, et se conformer aux exigences du principe de neutralité fiscale, sur le système commun de TVA. Par conséquent, il est pas le but de cette règle d'interprétation stricte, si la description du genre en. 135 Abs. 1 termes mentionnés exemptions utilisées sont conçues, de priver les exemptions de l'effet recherché (VGL. à. une. Urteile Don Bosco Immobilier, C-461/08, Je:C:2009:722, Rn. 25, DTZ Zadelhoff, C-259/11, Je:C:2012:423, Rn. 21, et J. J. Venez Sons gestion Heerhugowaard, C-326/11, Je:C:2012:461, Rn. 20).

36 Il ressort clairement de l'affaire de la Cour, que l'objectif de ce genre dans de. 135 Abs. 1 BUCHST. d f est des exemptions prévues en particulier dans, les difficultés, qui sont reliés à la détermination de la base d'imposition et le montant de la TVA déductible, éliminer (VGL. à. une. Jugement Velvet & Propriétés de l'acier, C-455/05, Je:C:2007:232, Rn. 24, et la prise de Tiercé Ladbroke, C-231/07 et C-232/07, Je:C:2008:275, Rn. 24).

37 Incidemment, la base de ces dispositions exempter de recettes de TVA de par leur nature, les transactions financières, bien qu'ils ne doivent pas nécessairement être effectuée par les banques ou les institutions financières (VGL. Arrêts Velvet & Propriétés de l'acier, C-455/05, Je:C:2007:232, Rn. 21 et 22 et la jurisprudence citée, et Granton Publicité, C-461/12, Je:C:2014:1745, Rn. 29).

38 Tout d'abord, comme dans l'art. 135 Abs. 1 BUCHST. d des exemptions de la directive TVA concerne fournis, il convient de noter, que les États membres et par le libellé de cette disposition revenus. une. "Les comptes de dépôt et actuelles, Paiement- et le transfert de fonds, dans les affaires avec des demandes, Free vérifie et autres instruments négociables "de la taxe.

39 Le titre que les revenus de fourniture exonérée d'impôt sont donc défini par le type de services fournis. Les services en question ne seront classés comme étant exemptées de recettes fiscales, Si vous êtes un indépendant large ensemble, qui respecte les fonctions spécifiques et essentielles d'un service décrit dans cette disposition (VGL. Jugement Axa UK, C-175/09, Je:C:2010:646, Rn. 26 et 27 et la jurisprudence citée).

40 De la formulation de l'article. 135 Abs. 1 BUCHST. d de la directive TVA fait à la lumière de l'arrêt Granton Publicité (C-461/12, Je:C:2014:1745, Rn. 37 et 38) en avant, que les opérations visées par cette disposition sur les services ou instruments, dont le fonctionnement comprend un transfert d'argent.

41 Incidemment vise de cette disposition, comme M. l'avocat général aux points. 51 et 52 a son avis, pas de ventes, qui se rapportent à une même monnaie, que ceux-ci font l'objet d'une disposition spéciale, à savoir l'article. 135 Abs. 1 BUCHST. e de la directive TVA.

42 Parce que la monnaie virtuelle "Bitcoin" est une trésorerie contractuels, ils ne peuvent pas, d'une part comme un compte courant, ni comme un dépôt, Paiement ou le transfert sont considérées. En second lieu, il offre, A la différence du type de l'en. 135 Abs. 1 BUCHST. d de la directive TVA mentionné exigences, Chèques et autres instruments négociables, une trésorerie immédiate entre ces opérateurs constitue, ils acceptent.

43 Par conséquent, les opérations telles que celles en cause au principal tombent en cause ne relève pas du champ d'application des mesures prévues dans cette disposition exemptions.

44 Deuxièmement, comme dans l'art. 135 Abs. 1 BUCHST. e des exemptions de la directive TVA concerne fournis, voit cette disposition avant, que les recettes des États membres, u. une. sur "Foreign Exchange, Reportez-vous billets et des pièces, le cours légal ", exonérés.

45 A cet effet, il convient de noter, sont que les termes utilisés dans cette disposition à la lumière des versions établies dans toutes les langues de l'Union uniformément interprétées et appliquées (VGL. à cet effet, Velvet & Propriétés de l'acier, C-455/05, Je:C:2007:232, Rn. 16 et la jurisprudence citée, et Commission / Espagne, C-189/11, Je:C:2013:587, Rn. 56).

46 Comme l'avocat général aux points. 31 à 34 a son avis, permettre aux différentes versions linguistiques de l'article. 135 Abs. 1 BUCHST. e pas la directive TVA, déterminer clairement, si cette disposition est applicable uniquement aux transactions, qui se rapportent aux monnaies classiques, à l'inverse, ils reflètent également les ventes couvre impliquant une autre monnaie.

47 Parmi les différences linguistiques, ne peut être déterminée sur la base d'une interprétation exclusivement littérale de la signification du terme en question. Il doit être interprété dans son contexte et à la lumière de l'objet et l'économie de la directive TVA (VGL. Arrêts Velvet & Propriétés de l'acier, C-455/05, Je:C:2007:232, Rn. 20 et la jurisprudence citée, et Commission / Espagne, C-189/11, Je:C:2013:587, Rn. 56).

48 Comme dans Rn. 36 et 37 le présent arrêt a été exécuté, est le genre de dans. 135 Abs. 1 BUCHST. e des exemptions de la directive TVA prévue est destiné en particulier, pour éliminer le survenant dans le contexte de la taxation des transactions financières difficultés dans la détermination de la base d'imposition et le montant de la TVA déductible.

49 Ventes, qui se rapportent à des devises non conventionnelles, d. h. dans des monnaies autres que celles, légal dans un ou plusieurs pays sont en espèces, cependant effectuer des transactions financières représentent, dans la mesure où ces monnaies ont été acceptées par les parties à la transaction comme un autre moyen de paiement à l'offre légale, et ils serviront à aucune autre fin que l'utilisation en tant que moyen de paiement.

50 En outre, les difficultés à déterminer la base d'imposition et le montant de la TVA déductible, comme M. Hedqvist soutenu à l'audience, dans le cas particulier de ces ventes, car ils représentent Conversions, être identique quel que soit, si elle est le genre normalement après. 135 Abs. 1 BUCHST. e de la directive TVA échange exemptés de devises ou de change de ces monnaies dans virtuelle classiques, les deux côtés de devises négociables - ou vice versa -, le, sans être légal, une acceptée par les parties à une transaction sont trésorerie.

51 Il résulte donc de ce contexte et dans le but de l'article. 135 Abs. 1 BUCHST. e de la directive TVA, que l'interprétation de cette disposition, après quoi ils ne concerneraient ventes, ont les monnaies classiques que l'objet, entraînerait, qu'ils perdraient certains de leurs effets.

52 Dans l'affaire au principal, il est constant, que la monnaie virtuelle "Bitcoin" rien d'autre que l'utilisation comme moyen de paiement but est utilisée et qu'elle est acceptée à ce titre par certains opérateurs économiques.

53 Par conséquent, la conclusion doit être établi, ce genre de. 135 Abs. 1 BUCHST. e de la directive TVA sur les services en question, comme dans les affaires au principal concerne, constitué de change des monnaies conventionnelles en unités de monnaie virtuelle "Bitcoin" et vice versa, qui sont exécutés pour un montant, correspondant à la marge, représenté par la différence entre le prix, à laquelle l'opérateur économique en question achète les devises et le prix, au cours de laquelle il les vend à ses clients, est formée.

54 L'en nature. 135 Abs. 1 BUCHST. f les exemptions prévues directive TVA enfin suffisantes pour noter, que cette disposition u. une. Recettes enregistrées, se référant à "des actions, Participations dans les entreprises ou les associations [aussi bien que] Reportez-obligations ", d. h. sur les titres, justifier un droit de propriété des personnes morales, ainsi que "d'autres titres", qui doit être comparable aux titres spécifiquement visées par cette disposition, de par sa nature, (Jugement Granton Publicité, C-461/12, Je:C:2014:1745, Rn. 27).

55 Il est constant, que la monnaie virtuelle "Bitcoin« ni de titres représentant, qui établit un droit de propriété des personnes morales, une autre sûreté comparable.

56 Par conséquent, en cause dans l'affaire au principal a donné lieu ne tombent pas dans le champ de l'en nature. 135 Abs. 1 BUCHST. f les exemptions de la directive TVA fournis.

57 Compte tenu de ce qui précède, la réponse à la deuxième question, qui:

- Art. 135 Abs. 1 BUCHST. e de la directive TVA doit être interprété comme, debout que les services tels que ceux en cause dans ce cas, constitué de change des monnaies conventionnelles en unités de monnaie virtuelle "Bitcoin" et vice versa, qui sont exécutés pour un montant, correspondant à la marge, représenté par la différence entre le prix, à laquelle l'opérateur économique concerné achète des devises, et le prix, au cours de laquelle il les vend à ses clients, est formée, représentant des transactions exonérées de la TVA pour les fins de cette disposition;

- Art. 135 Abs. 1 BUCHST. d et f doivent être interprétées comme la directive TVA doit, que ces services ne relèvent pas du champ d'application de ces dispositions.

Frais

58 Pour les parties au litige au principal, une étape dans l'action pendante devant la juridiction nationale; la décision sur les frais est une question de cette juridiction. Sur ceux pour soumettre des observations à la Cour, ne sont pas récupérables.

Par ces motifs, la Cour (Cinquième chambre) par la présente:

1. Art. 2 Abs. 1 BUCHST. c de la directive 2006/112 / CE du 28. Novembre 2006 relative au système commun de la TVA doit être interprété, debout que les opérations telles que celles en cause au principal, constitué de change des monnaies conventionnelles en unités de monnaie virtuelle "Bitcoin" et vice versa, qui sont exécutés pour un montant, correspondant à la marge, représenté par la différence entre le prix, à laquelle l'opérateur économique concerné achète des devises, et le prix, au cours de laquelle il les vend à ses clients, est formée, constituer des services payants fournis aux fins de cette disposition.

2. Art. 135 Abs. 1 BUCHST. e directive 2006/112 doit être interprété, debout que les services tels que ceux en cause dans ce cas, constitué de change des monnaies conventionnelles en unités de monnaie virtuelle "Bitcoin" et vice versa, qui sont exécutés pour un montant, correspondant à la marge, représenté par la différence entre le prix, à laquelle l'opérateur économique concerné achète des devises, et le prix, au cours de laquelle il les vend à ses clients, est formée, représentant des transactions exonérées de la TVA pour les fins de cette disposition.

Art. 135 Abs. 1 BUCHST. d et f de la directive 2006/112 doit être interprété, que ces services ne relèvent pas du champ d'application de ces dispositions.

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